Nous sommes dans un futur proche, à la fois familier, technologique et sécuritaire. Ernest, cadre d’une multinationale chinoise de l’automobile, vit paisiblement avec son épouse Colombe dans un pavillon petit bourgeois. Une nuit, deux individus pénètrent dans sa maison. Il tue l’un des deux, l’autre s’enfuit. Très vite ce qui n’aurait pu être qu’un banal fait divers devient une affaire étrange. La milice mène son enquête, elle veut savoir pourquoi l’individu tué par Ernest n’est pas un être humain mais un androïde super sophistiqué d’origine inconnue, elle veut savoir également comment les deux individus ont réussi à entrer dans la maison alors que la serrure électronique ne semble pas avoir été brouillée… Ernest n’en sait pas plus que la milice, mais il comprend très vite qu’à ses yeux, il est devenu plus que suspect.
Un petit roman de science-fiction, vite lu, vite digéré. Il s’avère dès le début d’une lecture distrayante, et le thème des univers multiples, pourtant mille fois rabâché, est plutôt bien exploité, jusqu’à la surprise finale, en forme de blague qui achève de donner à ce roman un petit côté potache assez plaisant. Il est clair également que si l’écriture de Mazarin est plutôt simple et accrocheuse, ce roman n’a pas d’autre ambition que la distraction pure, et sur un thème commun, il n’arrive pas à la cheville de « L’univers en folie » de Fredric Brown. Ici, le délire n’est pas complet. De trop courte durée peut-être. A lire, à l'occasion...
Un petit roman de science-fiction, vite lu, vite digéré. Il s’avère dès le début d’une lecture distrayante, et le thème des univers multiples, pourtant mille fois rabâché, est plutôt bien exploité, jusqu’à la surprise finale, en forme de blague qui achève de donner à ce roman un petit côté potache assez plaisant. Il est clair également que si l’écriture de Mazarin est plutôt simple et accrocheuse, ce roman n’a pas d’autre ambition que la distraction pure, et sur un thème commun, il n’arrive pas à la cheville de « L’univers en folie » de Fredric Brown. Ici, le délire n’est pas complet. De trop courte durée peut-être. A lire, à l'occasion...
Ma note : 6,5 /10
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